Nos parcelles sablo-humiques offrent un bon drainage, une légèreté propice à l’enracinement, et une structure stable pour l’implantation.
On sème au bon moment, on suit la levée de près et on passe tous les deux jours pour observer, ajuster, décider.
La pousse, l’humidité, la densité, tout est vérifié. Il n’y a pas de raccourci pour faire bien.
La culture du gazon repose sur une approche simple, mais exigeante : respecter le sol, maîtriser la technique, comprendre les usages.
On travaille avec les cycles naturels, en ajustant les apports, en pilotant l’irrigation, et en suivant de près l’évolution des parcelles.
Le matériel joue son rôle, bien sûr ; Nous avons investi pour suivre les cultures avec précision, piloter les interventions au bon moment, ajuster les décisions à l’échelle de la parcelle.
Mais cela ne suffit pas. Il faut aussi lire le marché, écouter les retours, anticiper les besoins. Ce qui était valable hier peut ne plus l’être demain. Les usages changent et les attentes aussi, le produit doit donc suivre, sans jamais se dénaturer.
Un partenaire a dit un jour :
« J’ai l’impression d’être sur un green géant, ça me donne envie de sortir mes clubs de golf »
Nous travaillons principalement avec deux profils :
Adapté à tous les sols, il est idéal pour les jardins, parcs et terrains sportifs. Grâce à sa composition spécifique, il allie résistance et esthétisme.
La sélection se fait d’abord sur le terrain, pas dans les catalogues.
Le gazon est une culture qui oblige à anticiper.
La gestion de l’eau, l’adaptation aux sols, la réduction des intrants, tout est pris en compte.
Des essais sont réalisés sur des mélanges de semences adaptées aux restrictions hydriques pour anticiper les besoins de nos clients.
L’exploitation s’inscrit également dans une démarche de réduction des impacts environnementaux : Les traitements sont réduits autant que possible, et des solutions alternatives sont mises à l’essai pour maintenir la qualité sans compromis et avec une meilleure gestion des maladies et des conditions en eau.
Une culture complémentaire, en cohérence avec l’ensemble de la ferme
Le maïs occupe une place discrète mais essentielle sur l’exploitation. Culture annuelle par nature, elle vient s’insérer entre les cycles des asperges et les périodes du gazon.
Chaque décision est prise avec la même exigence que pour les autres cultures. Tout est ajusté en fonction des conditions météo, de l’état des sols ou des observations en cours de saison.
Le maïs joue aussi un rôle stratégique dans l’équilibre économique de la ferme. Il offre une diversité de débouchés tout en restant cohérent avec le socle agronomique de l’exploitation. Il ne s’agit pas d’en faire un axe majeur, mais bien de construire un système complet, souple et techniquement solide, capable de s’adapter.